Harry ensorcelé
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ange_noir007
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   Posté le 07-04-2004 à 23:25:42   Voir le profil de ange_noir007 (Offline)   Envoyer un message privé à ange_noir007   

Voici les contes que j'ai recus.


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Evidemment je demanderai aux écrivains de ne pas se nommer. Mystere jusqu'au bout


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Conte n°1

Quand le passé revient au galop……


Il était une fois, dans un de ces nombreux villages qui parcourent les routes campagnes, une jeune enfant qui traînait jour et nuit dans les ruelles. Elle s'appelait Sédalia et cela faisait maintenant presque un an que ses parents étaient morts lors d'un incendie. Depuis, elle avait appris à se débrouiller. Un beau jour qu'elle se faufilait entre les passants vers la kermesse à journaux, elle surprit une conversation entre deux grands hommes d'affaires. Elle s'approcha et eut juste le temps d'entendre quelques paroles entrecoupées qui parlaient d'un riche propriétaire qui avait acheté un des châteaux environnant. Apparemment, il venait d'hérité et avait directement voulu vivre dans les envions. Mais Sédalia n'y prêta pas trop attention et fit demi-tour à la recherche de quelque chose à se mettre sous la dent…
Une ou deux semaines plus tard, elle se retrouva sans le vouloir devant cette immense résidence. Elle se posta devant l'immense grille d'entrée de la maison lugubre, se hissa sur la pointe des pieds et essaya de voir quelque chose à travers les lointaines fenêtres. Mais ses efforts furent vains et elle allait partir lorsque la grille se mit à vibrer et à grincer en s'ouvrant. Elle se jeta sur le côté dans un buisson et regard avec des yeux écarquillés la puissante voiture noire qui fonçait à toute allure hors de la propriété. A peine remise de ses émotions, elle se précipita sur le chemin et disparut à toute vitesse à l'horizon…
Poussée par la curiosité, Sédalia retourna plusieurs fois épier l'immense façade noirâtre mais jamais elle n'eut l'occasion de franchir le portail. Jusqu'au jour où, à peine arrivée, elle vit un homme, vêtu d'un riche costume, sortir à pied par une petite porte sur le côté. Elle se faufila jusqu'à celle-ci et, risquant le tout pour le tout, la poussa dans un grincement à faire frémir les plus courageux. Elle s'aventura alors dans un magnifique jardin aux sentiers de graviers blancs autour desquels de gigantesques plantes multicolores escaladaient les arbres fourbus. Mais en se rapprochant du château, tout sembla s'assombrir, se noircir, et même les arbustes semblaient étirer leurs branches vers elle pour la saisir…
Son pas vif et léger l'amena devant une fenêtre crasseuse qu'elle essaya d'essuyer en vain avant de jeter un coup d'œil à l'intérieur. Toutes les décorations et les meubles semblaient dater de plusieurs centaines d'années. La seule preuve que quelqu'un vivait bien ici venait de la lueur orange qui s'élevait de la cheminée bien qu'il n'y eut personne dans la pièce. Sédalia scruta l'intérieur derrière bons nombres de fenêtres mais ne vit que d'immenses pièces plongées dans le noir et presque à l'abandon. Elle faillit faire demi-tour lorsqu'elle entendit un léger chuchotement provenant d'une porte située à quelques pas d'où elle se trouvait. En s'approchant, elle vit qu'un fin rai de lumière filtrait sous la porte…
Elle ne comprenait pas un mot de ce langage mais elle distingua deux voix d'hommes. Apparemment, l'un deux était très énervé car il ne cessait de hurler ce qui semblait être des injures. Brusquement, une troisième voix stoppa la dispute, en français cette fois, et ordonna aux deux autres de sortir, et au pas de course ! Sédalia s'esquiva vite quand la porte s'ouvrit à la volée et que les deux hommes firent irruption dans le froid qui régnait dehors. Elle profita de cette occasion et s'introduit à l'intérieur…
A peine à l'intérieur, elle ne vit qu'un bout du long peignoir de l'homme qui avait fait déguerpir les deux étrangers. Elle se faufila à sa suite mais le perdit bien vit de vue, en plein milieu d'un grand hall d'entrée. Au hasard, elle décida de continuer tout droit, grimpant deux à deux les marches d'un escalier raide et glissant qui la mena tout en haut, tout en haut de l'immense demeure. Là, elle se retrouva dans une immense pièce circulaire qui n'avait pour toute décoration qu'un immense tableau aux couleurs ternies par les années passées sous la poussière. Celui-ci représentait une très belle femme et Sédalia ne pu plus en détourner les yeux tant elle lui rappelait sa mère…
Dans sa contemplation bouche bée de cette œuvre, elle ne vit pas que l'homme était là, dans l'ombre, à la guetter. Tout à coup, comme pris par une pulsion soudaine, il se précipita vers Sédalia, lui appliqua un chiffon sur la bouche et elle vit la lumière décliner derrière ses paupières closes. L'inconnu redescendit jusqu'au hall avant d'emprunter un de ces passages secrets que les vieux manoirs cachent dans chacun de leurs recoins. Après s'être encore enfoncé un peu plus sous le rez-de-chaussée, il poussa la jeune fille inconsciente dans une pièce humide et l'y enferma à double tour…
Ce n'est qu'une bonne dizaine d'heure plus tard que Sédalia se réveilla. Elle entendait sa tête résonner et ne parvenait presque pas à tenir debout. Elle regarda autour d'elle mais ne vit aucun moyen de s'échapper. Elle se blottit donc dans un coin et attendit… Mais bien vite, son geôlier vit qu'elle n'était plus inconsciente et il pénétra en trombe dans la pièce, refermant en claquant la grosse porte de bois. Il ne s'approcha pas d'elle mais resta au contraire dans l'ombre. Puis, il dit enfin : "Ca faisait longtemps, Sédalia…" Elle releva brusquement la tête : elle reconnaissait cette voix, c'était celle de son oncle qui avait disparu peu après la mort de ses parents…
Elle voulut se précipiter dans ses bras, elle qui était sans famille depuis si longtemps et qui n'avait plus personne à chérir. Mais l'homme la repoussa et elle vint s'écraser sur le sol humide et froid. Il se pencha vers elle et elle aperçut enfin son visage : il était défigurer, des marques de brûlures un peu partout lui donnait l'air si vieux qu'on aurait pu penser qu'il s'écroulerait d'ici peu. Il lui saisit le menton et la força à plonger ses yeux dans les siens. Elle voulut dire quelque chose mais il l'a coupa : "Comment as-tu pu survivre à cet incendie ? J'avais tout bien préparé : un bel accident !" Sédalia voulut se rebeller et se mit à crier :
"C'était donc vous ! Vous avez tué mes parents ! Et vous vouliez me tuer ! Je…" Mais il la frappa si fort qu'elle alla se cogner sur le mur…
"Relève-toi petite idiote !" hurla-t-il en la relevant brutalement sur ses jambes tremblantes. "Oui j'ai voulu te tuer, oui j'ai tué tes parents et je le referai bien encore pour tout l'argent que j'aurais pu avoir ! Mais il a fallu que tu survivre mais apparemment…" Il regarda les guenilles qui lui servaient de vêtements "… tu ne sais pas qu'une petite fortune t'attend depuis un an. Mais ne t'inquiète pas, je vais finir ce que j'ai commencé et tu n'auras pas à aller les chercher…" Il sortit un couteau bien aiguisé de sa poche et là, tout se passa en un éclair : Sédalia lui fonça dessus, le bouscula et se précipita vers la porte que son oncle n'avait pas refermer à clé, elle escalada les escaliers, traversa quelques pièces et se retrouva dehors…
Le vent lui fouettait le visage tandis qu'elle courrait à toute allure dans les allées. Elle vit au loin la porte mais lorsqu'elle se précisa à ses yeux, elle vit qu'elle était fermée. A peine arrivée devant, elle tenta de l'ouvrir mais elle était barricadée de l'extérieur. Elle se retourna et vit les deux brutes de tout à l'heure se diriger vers elle. Elle se précipita vers la grille et, de toutes la force de ses bras, se hissa jusqu'en haut avant de détaler à tout allure alors que les deux autres la regardait d'un air imbécile…
Sédalia passa la nuit terrée dans un buisson épais du parc. Le lendemain, elle se releva lentement, examina les alentours et, quand elle fut sure que personne ne pouvait la voir, elle courut d'un trait, sans dévier, vers une grande maison où elle se présenta à l'accueil. Là, elle expliqua à un jeune boutonneux qui elle était et demanda s'il était vrai qu'une petite fortune l'attendait…
Elle ressortit beaucoup plus tard, avec pleins d'argent dans les poches mais sans savoir qu'en faire. Alors qu'elle se le demandait, elle percuta une jeune dame qui la dévisagea longuement avant de lui demander d'une voix douce si elle avait faim. Bien sur qu'elle avait faim ! Elle ne se fit pas prier et partit avec la femme vers une petite maison assez coquette où elle fut enfin rassasiée. On lui proposa de loger là, la dame s'étant éprise d'elle…
Mais ces gens n'étaient pas riches et la famine arriva vite vu qu'ils avaient une bouche de plus nourrir. Sédalia les entendit parler de la laisser le rue, comme avant. C'est ce qui la décida à parler de sa petite fortune. Ses hôtes furent comblés et décidèrent de l'adopter pur vivre enfin heureux, eux ne pouvant pas avoir d'enfants…
Finalement, tout est bien qui finit bien, mais personne ne su jamais ce qui était advenu à l'oncle de Sédalia. Celle-ci en fait souvent des cauchemars… Qui sait, peut-être attend-t-il de prendre sa revanche…


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Conte n°2

00:00. Amélie se leva, réveillée par son réveil, qu'elle avait enfui en-dessous de son oreiller pour ne pas réveiller ses parents. Elle s'était couchée habillée, elle se leva donc, traversa la maison à pas de loup, avant de sortir dans la nuit. Brrr qu'il fait froid dehors! Elle marcha jusqu'à une bifurquation, elle alla à droite et de là elle arriva dans un square désert, normal à cette heure! Ella s'assit qur un banc et attendit...
Un quart d'heure plus tard à peu près, on pouvait distinguer une silouhette se détracher dans le brouillard, et avancer lentement vers elle... Amélie ne put s'empêcher de frissonner, même si elle connaissait bien cette personne, car c'est quand même effrayant de se retrouver seule à 12:30 dans un square désert avec une personne qui avace lentement vers vous... Quand la personne vint s'asseoir à côté d'elle, elle poussa un cri car ce n'était pas la personne qu'elle attendait, mais un inconnu avec une cagoule, comme un bandit!!! Celui-ci étouffa son cri en lui baillonant la bouche, et il la jeta sans ménagement devant lui, l'obligeant à marcher dans d'affreuses conditions. Amélie était terrorisée, et elle avaçait docilement, pour ne pas qu'il lui fasse de mal.

Arrivé à destination, une baraque en brique, pas plus grande qu'un enclot pour moutons, perdue dans la campagne, l'homme la poussa dans la maison et il lui enleva son baillon. Amélie avait tellement peur qu'elle tremblait sans arriver à parler! L'homme ne luiu fit pas de mal, il lui expliqua juste une histoire qu'elle ne comprit pas très bien, tellement sa tête était remplie de plans d'évasion, tous plus saugrenus les uns que les autres. Mais elle comprit quand même que l'homme parlait de déportation d'enfants dans les pays du sud, et qu'elle allait y être emmenée. Ensuite, l'homme qui s'avéra s'appeler Sammy, présenta une chambre à Amélie, quelque peu sâle mais avec un bon lit. Dans son lit, ne trouvant bien évidemment pas le sommeil, Amélie ommença par aller observer la fenêtre. Il n'y avait pas de barreaux, mais il faudrait être fou pour sauter du troisième étage jousqu'en bas! Ella éloigna donc cette hypothèse de son esprit, elle s'approcha de la porte. Sammy l'avait fermée à clef, pour éviter qu'elle ne s'échappe. Elle se souvint alors qu'elle gardait toujours, au cas ou, un épingle à cheveux dans la poche de sa veste. Elle regarda de tous côtés, mais pas trace de veste, Sammy la lui avait prise!! A court d'idées et très fatiguée, elle décida de se choucer, car ses parents s'apercevraient quand même de son absence! Et puis Sammy n'avait pas l'air méchant, elle ne risquait rien...
Mais au milieu de la nuit, Amélie se réveilla avec un mauvais pressentiment. Elle se souvint soudain que Sammy lui avait parlé de déportements d'enfants, et bien qu'elle n'avait pas très bien compris car elle n'avait pas vraiment écouté, une peur immense la saisit, car il lui avait dit qu'elle fesait partie de ces enfants!! Elle allait donc être emmenée quelque part, Dieu sait où, et ses parents pourraient toujours chercher pour la retrouver! Après avoir vérifié qu'elle était toujours dans sa chambre, et pas dans un camion en partance vers le Sud, elle voulu remmetre ses idées en place, car tout était très embrouillé dans sa tête. Elle fit donc le point. 00:00, elle se réveille et marche vers le square. 00:15, elle s'assied sur un banc pour attendre, normalement, son petit ami. Mais oui!!! Lui, qui est arrivé un peu plus tard, a dû trouver ça bizarre, car Amélie ne manque jamais aucun rendez-vous! Peut-être même était-il déjà en train de la chercher! Un peu revigorée, elle continua. 00:30, Sammy arrive, se faisant passer pour Julien, son petit ami. 01:00, il arrivent dans cette maison. 02:00, le temps qu'il lui explique l'histoire de déportation, elle va se coucher, 03:30 plus ou moins, elle réussi enfin à s'endormir, et maintenat, 05:00 d'après sa montre, elle se réveille, n'éprouvant plus aucune envie de dormir!! Elle se mit donc à fouiller la pièce, à la recherche d'une occupation. Bien sûr, il n'y avait aucun livre, Sammy n'est pas le genre d'homme à avoir une bibliothèque dans chaque pièce, rien qu'à le regarder on s'en rend compte!! Elle trouva finalement, après avoir poussé un cr'i suite à la découverte d'une araignée, un papier tout froissé qui semblait être là depuis des siècles:
le 23 août 1998

Pour la personne qui trouvera ce papier,
que ce qoit un policier, un fermier ou encore un autre enfant kidnappé,
sachez qu'au 6, rue de la fermette,
se trouve une cache de poussière maléfique,
et que le dénommé Sammy Bertens emploie des enfants pour les exporter dans le Sud,
afin qu'ils essaient la poussière avant qu'ils puissent la commercialiser
(au marché noir, bien sûr).
Moi, Jérémy Sydney
je vais partir d'ici quelques heures, dans un camion surchauffé vers le Sud,
Donc vous ne pouvez plus rien pour moi.
Mais j'ai fait ce papier, en espérant qu'il tombe en de bonnez mains
pour que je sois le dernier enfant à arriver là-bas.
Sauvez-nous vite,
Jérémy Sidney.

Amélie sentit son estaomac se contracter par la peur, elle allait donc aller dans la Sud pour tester de la poussière maléfique. Elle était sûre de mourir d'ici peu!!! Ce papier avait été écrit en 1998, et il y a sans doutes eu encore des milliers d'enfants à partir après Jérémy! Ce qui est bizarre, c'est pourquoi la police ne se met pas à chercher tous ces enfants? Les parents doivent quand même bien l'avertir après un moment! A ce moment là, elle entendit le verrou de sa porte tourner, et elle s'empressa de glisser le papier dans sa poche. C'était Sammy qui venait lui apporter son petit déjeuner, tout en lui annonçant qu'ils partiraient en voyage vers 12:00. En voyage, la bonne blague! Pensa-t-elle. Elle se dépêcha de manger sa bouillie-dégueulasse, en passant- puis elle réfléchit à un moyen de faire parvenir ce papier à quelqu'un. Pour trouver une idée, elle regarda par la fenêtre, tout en se disant que de toute façon, elle, elle était foutue. Elle ressentait sans doutes la même sensation que Jérémy, 6 ans plus tôt. Tout à coups, elle sauta en l'air, car elle avait trouvé une idée. Elle était presque sûre que ça ne marcherait pas, mais ça vaut le coups d'essayer!!! Un pigeon s'était posé sur l'appui de sa fenêtre. Par chance, c'était un vienx corbeau, un peu aveugle et un peu sourd. Il y avait beaucoup de chance qu'il meure avant d'apporter le papier à quelqu'un, mais bon! Elle tendit la main, tout doucement, et attrappa le corbeua! Celui-ci se débattait férocement, mais elle le tenait fermement. Elle prit d'abord la peine de changer "23 août 1998" en "6 avril 2004", puis elle attacha fermement le papier à la patte du corbeau, puis elle le relacha dehors. Il tituba un petit peu, puis repris son équilibre, et s'empressa de prendre son envol pour s'éloigner au plus vite d'Amélie.
On toqua à sa porte, c'était Sammy qui voulait lui parler. Cette fois-ci, elle écouta attentivement ce qu'il avait à lui dire, et elle comprit qu'ils allaient quelque part dans le Sud, pour "aider une entreprise", lui dit Sammy. Elle srait bien nourrie, et se ferait beaucoup d'amis car il y avait plein de jeunes de son âge. Elle resterait longtemps là-bas, mais peut-être pas toujours, lui dit-il pour la rassurée. elle était trop déprimée pour protester, de toute façon, à quoi aurait-ce servi?

Sammy donna un goûter à Amélie, qu'elle mangea avec plaisir car elle mourait de faim, mais elle s'en repentit ensuite car dès qu'elle eut avalé la dernière bouchée, elle se sntit lourde, fatiguée, et après 5 minutes, elle dormait profondément. Sammy la prit sur ses épaules, et l'emmena dans le camion, où il la coucha sur un tapis posé par terre. Quand Amélie se réveilla, elle eut la surprise de sa vie, car tout le décor avait changé! Premièrement, elle mourait de chaud. Deuxièmement, elle se trouvait dans un genre de chambre d'hotel, et 20 autres lits étaient disposés autour d'elle avec dans chacun un enfant d'à peu près son âge. Elle se leva et remarqua, en regardant par la fenêtre, qu'il devait être 22:00, car il faisait déjà sombre. Elle sortit dans le couloir et vit différentes pièces, avec un écriteau sur chacune d'elle. Sur celle qu'elle venait de quitté était marqué: "dortoir des filles n°13". Elle descendit tout en bas, puis tomba nez à nez avec Sammy! Celui-ci avait l'air embarrassé, et il lui demanda d'aller se recoucher. Mais Amélie en avait marre, elle voulait des expliquations! Il n'y a rien à dire, lui répondit-il. Nous sommes arrivés, voilà tout. Tu es bien logée, c'est très beau, c'est... Mais c'est était trop. Amélie explosa, elle se fâcha, elle dit que elle voulait revoir ses parents, Julien, que elle voulait continuer d'aller à l'école, et sûrement pas travailler pour quelqu'un qu'elle ne connait pas!!! Pour Julien, répondit Sammy sans s'énerver, il n'y a pas de problèmes car il est là aussi. C'est pour ça que je t'ai eue après, je l'ai forcé à parler et il m'a dit que il était là pour t'attendre. Mais pour tes parents... Et puis arrête de t'énerver, tu resteras ici, un point c'est tout. Amélie commença à pleurer, elle s'énerva de nouveau, mais rien n'y fit. Sammy tenait bon.
Un peu plus tard, alertés par tout ce vacarme, certains enfants qui s'étaient réveillés et d'autres adultes du même genre que Sammy arrivèrent. Les enfant accueillirent chaleureusement Amélie, puis quand ils se retrouvèrent seuls, ils lui soughaitèrent bien du courage, et lui donnèrent quelques conseils, comme par exemple toujours faire ce que les adultes demandent, si on veut être bien traités. Le premier jour, tout est toléré, mais ensuite, pas question de faire le moindre écartement au règlement.

Amélie resta donc dans cet hotel pendant plusieurs mois, travillant chaque jour à l'entreprise de fabriquation de poussière maléfique. Elle essaya de retrouver Jérémy Sidney, mais elle apprit qu'il était mort, un jour, en tombant dans un baril de poussière, ce qui ne fit qu'accroitre le déprime d'Amélie. La seule chose qui l'adait à tenir le coups, c'était la présence de Julien qui la réconfortait chaque jour et de l'amie géniale qu'elle sétait faite, Aline. Ils avaient formé, à trois, un petit groupe, et ils passaient tout leur temps ensemble.

Mais l'inatendu arriva le 17 octobre, durant un jour plus froid que les autres, où ils en avaient vraiment marre de travailler à l'entreprise. Un nouvel enfant, Arnaud, était arrivé le matin, et cette fois Amélie avait pu s'amuser à le prévenir avec les autres, mais cela avait aussi été douloureux pour elle, car ça lui a rappelé qu'avant, elle menait une existance normale et sereine, et elle ne put s'empêcher de repenser à ses parents, ce qu'ils feaient à ce moment, et elle pleura un peu malgré la promesse de ne pas pleurer qu'elle s'était faite à elle-même. Mais ce jour-là, arriva également un homme bizarre, qui se présenta à l'accueil. Amélie, Aline et Julien, qui se promenaient par là, se cachèrent dans une pièce rpoche afin d'écouter ce qui se disait. L'homme prétendait avoir trouvé un corbeau mort, qui portait à la patte un message de détresse. Le oeur d'Amélie fit un bond! Elle qui avait perdu espoir concernant ce papier, voilà que maintenant il y avait beaucoup de chance pour qu'ils soient libéré bientôt! La conversation continua, bien que Les personnes de l'accueil aient été pris de court un instant, et ceux-ci demandèrent à l'homme plus de précision. L'homme, qui s'avéra ensuite s'appeler Tom, raconta sans parelr de tout, ce qui était marqué sur le papier que Amélie avait trouvé. Mais la cloche du repas retentit, il était temps de partir! Et le trio alla manger avec une petite boule d'espoir enfuie au fond d'eux...

Le soir venu, Amélie n'arrivait pas à trouver le sommeil, tellement elle était excitée, et elle proposa à Aline d'aller voir si elles ne trouvaient pas un document intéressant sur cet homme. Elles descendirent, et tout en fesant bien attention d'être le plus silencieuses possible, elles trouvèrent une fiche d'identité de ce type:

Nom: Simson
Prénom: Tom
Sexe: masculin
Âge: 32 ans
Ntionalité: belge
Langues: français, néerlandais, anglais
Profession: magicien dit-il, mais nous traduisons ça par prestidigitateur
Raison de la visite: trouvé papier sois-disant de détresse

Amélie et Aline étaient trop heureuses, mais elles se demandaient comment Tom a-t-il pu arriver jusqu'ici, alors qu'il vient de Belgique? Tout en remontant, elles étouffèrent un cri car elles percutèrent un homme qui s'enfuyait en courant. Elles croyaient qu'elles étaient cuites, car il est bien sûr totalement interdit de se promener dans les couloirs la nuit, quand elles remarquèrent que la personne qu'elles avaient percuté, c'était Tom Simson! Elles allaient s'axcuser, quand Tom les enpoigna chacune dans un bras, et il continua sa course folle. Il arriva aux portes, bien sûr fermées, mais il sorti les clés de sa poche et recommança à courir. En regardant derrière elles, Amélie et Aline comprirent pourquoi il courait comme ça! Le gardien des clés, un homme fort et musclé, leur courait après bien qu'ils aient une bonne avance. Tom lui avait sans doutes volé les clés! Après avoir couru pendant bien une heure à une allure folle, Tom s'effondra, épuisé et certain d'avoir semé Didier, le gardien des clés. Alors il exposa son plan à Aline et Amélie. Elles allaient retourner à l'hotel, en pleurant et en prétandant que Tom est un imposteur, qu'il les avait kidnappées mais qu'elles avaient réussi à s'enfuir, et qu'il faudrait le retrouver pour l'enfermer. En espérant que ça marche, pendant ce temps, Tom ira recruter des gens, ce qu'il avait déjà fait mais en recruter encore plus, pour pouvoir au moment venu assiéger le bâtiment et libérer tous les enfants. Il réserverait également un train entier, et veillerait en payant bien cher le conducteur à ce que ce train soit là à l'avance, et tous les enfants devraient sauter dans le train pour partir vers leur famille. Il avait déjà prévenu les policiers, qui qauteront sur les imposteurs qui auront sûrement couru après les enfants, et les emmèneront au poste de police. Mais elles devaient prévenir tout les enfants en leur fesant jurer de ne rien dire, et leur dire de se tenir prêts, sans rien montrer estérieurement bien sûr, le 2 janvier à 9:00 quand un genre de coup de tonnerre retentira.

Après ça, il les laissa partir et Amélie et Aline appliquèrent tout de suite leur plan, qui marcha à merveille. Sammy pesta: le ***, il nous a bien eu, je jure que dès que je le trouverai, je... Comme elles ne voulaient pas en entrendre plus, elles coururent déjà prévenir les filles de leur dortoir, et prévinrent aussi tous les autres enfants, elles eurent bien le temps jusqu'à début janvier. Le 2, il y avait une telle nervosité chez tout le monde, bien que tout le monde essayait de la dissimuler du mieux qu'il pouvait, bien sûr, que Amélie et Aline avaient peur que les adultes se rendent compte de quelque chose. Heureusement, tout se passa bien et à 9:00, quand le coup de tonnerre retentit, tous les enfants ne firent plus attention à rien, et ils s'élancèrent dehors comme un boulet de canon, courant vers la gare, pendant que Tom et plein d'autres personnes s'élançaient sur l'industrie et sur l'hotel, et que le personnel restait là, médusé. Il faut dire que 1000 enfant s'élançant tous en même temps en hurlant et courant comme un seul homme vers en endroit, avec plein d'hommes forts s'élançant à la même vitesse dans l'autre sens, c'est impressionant! Après quelques minutes, heureusement personne ne fut écrasé, et le chef parut se ressaisir. Il donna des ordres. ceux qui courent le plus vite, rattrappez les enfants et empoignez-en le plus possible, quitte à leur casser quelque chose pour qu'ils ne sachent plus courir! Et les autres, repoussez ces intrus! Il avait l'air furieux, mieux valait ne pas se trouver près de lui à ce moment!

Amélie et Aline, qui dirigeaient la petite troupe, suivies de près par Julien, coururent du plus vite qu'elles purent vers la gare, Tom les accompagnant également. Ils virent le train, toutes portes ouvertes, qui les attendait sur les rails, et ils sautèrent tous à l'intérieur, ce qui provoqua comme un tremblement de terre. Quand on fit signe au commandant que tout le monde était à l'intérieur, il démarra et les enfants, suffoquants tellement le train était bondé, virent avec plaisir l'endroit où ils avaient passé, pour certains, plusieurs années ou même presque la totalité de leur vie s'éloigner de plus en plus vite.

Les hommes qui les avaient suivis arrivèrent trop tard, mais pas assez pour que les policiers leur sautent dessus, et ils finirent en prison. Les autres furent faits prisonniers par les hommes de Tom qui avaient saqquagé les bâtiments, et ils finirent également en prison, on comprend pourquoi elle est surpeuplée! Tom, qui comme il avait dit était magicien, et possédait en prime le don d'ubiquité, se trouvait dans le train avec les enfants, et aussi devant la prison avec les policiers et ses hommes, était très heureux, et tous les enfants retrouvèrent leur parents, tout est bien qui finit bien, comme toujours dahns les contes!! ;-)


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Voili voilou.
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Bizous


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